Nous vous faisions part dès hier d'une altercation entre un sympathisant du maire et Marc Orsatti lors de la soirée des 25 ans du Comité de sauvegarde du Vieux-village de Saint-Laurent-du-Var. Une situation ridicule qui n'a fait qu'empirer avec une conférence de presse du PS...  Disproportionné?

Peut-être, peut-être pas! Mais est-ce la préoccupation principale des laurentins, nous n'en sommes pas sûr! Quoiqu'il en soit Nice Matin nous fait un résumé des différents épisodes. 

Les faits...

Les 35 ans du Comité de sauvegarde du Vieux-village de Saint-Laurent-du-Var ont tourné vinaigre. Malentendu, accrochages, coups et plaintes au menu de la soirée.

« J’ai déposé plainte au commissariat. Le médecin m’a prescrit cinq jours d’arrêt-maladie et des examens. » Marc Orsatti, conseiller régional et conseiller municipal de gauche, se dit très surpris par l’incident qui s’est produit vendredi soir à la soirée organisée par le Comité de sauvegarde du vieux-village qui fêtait son 35e anniversaire.

« René Ramella, le président-fondateur du comité, qui a du mal à se déplacer, m’a demandé d’aller chercher un papier qu’il avait donné à Nice-Matin. J’y suis allé, je lui ai donné. Georges Zaragoza le lui a enlevé de la poche. » Une autre personne, qui ne souhaite pas donner son nom, a alors récupéré le papier.

« J’ai eu peur que M. Ramella tombe », poursuit Marc Orsatti. « Georges Zaragoza s’est tourné vers moi, m’a accusé d’être responsable de tout ça, et j’ai reçu un coup de genou dans les parties génitales », ajoute Marc Orsatti. L’incident a viré à la mêlée avec des échanges verbaux assez vifs, et a failli tourner à la bagarre générale.

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Les réactions

Mardi soir, le conseiller municipal PS et élu régional, a tenu une conférence de presse, à sa permanence. Autour de lui, Patrick Allemand, 1er vice-président de la région, Paul Cuturello, président du groupe socialiste au conseil général, Marc Concas, conseiller général, Christine Mirauchaux, élue de la région, ainsi que Xavier Garcia et Laurent Pratensi.

Patrick Allemand prend la parole, grave : « Ce qui s’est passé amène à une situation nouvelle où les droits de l’opposition sont de moins en moins respectés. C’est la première fois que l’agression n’est plus verbale, mais physique ».

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